Faire vivre la démocratie ne peut se limiter à appliquer un programme voté en début de mandat. Nous défendons une nouvelle approche : associer les habitant·es à la mise en œuvre des politiques publiques, avec un véritable pouvoir de proposition, d’amendement et de décision – et non plus se contenter d’appliquer un programme de manière descendante. Concrètement, cela signifie que plusieurs projets municipaux devront être directement discutés avec la population, en plus de la concertation renforcée qui doit être la règle pour la mise en œuvre de chaque projet.

Cette démarche sera coordonnée par un·e élu·e dédié·e à la démocratie participative, tandis que les élu.es de secteur animeront les processus participatifs dans les quartiers. Ils devront co-construire avec les associations, les syndicats et des habitant·es tiré·es au sort, selon des critères socio-professionnels, afin de garantir une représentation fidèle de la diversité sociale. Des dispositifs d’accompagnement seront mis en place pour lever les freins à la participation.

La démocratie participative devra notamment être utilisée dans le cadre d’arrivée de sujets imprévus importants.

Cette dynamique nécessitera sans doute de repenser l’articulation entre le budget participatif qui permet de financer des projets proposés et votés par les habitant.es à partir d’une partie du budget de la ville et le Fonds de participation des habitant.es (FPH) à plus petite échelle qui soutient des initiatives locales. L’idée est de faire grimper la participation de toutes et tous les habitants de Grenoble et de garantir une participation plus équitable entre les quartiers.

Des bilans publics réguliers seront organisés pour mesurer l’impact des démarches engagées et ajuster les dispositifs afin de les rendre plus efficaces. L’objectif est d’intégrer le maximum de formes de participations tout au long du mandat.

Construire une démocratie vivante, c’est permettre à toutes et tous de prendre part aux décisions qui les concernent. C’est aussi de retisser le lien entre les citoyens et les institutions et redonner du pouvoir d’agir à celles et ceux qui en sont trop souvent privé·es.Faire vivre la démocratie ne peut se limiter à appliquer un programme voté en début de mandat. Nous défendons une nouvelle approche : associer les habitant·es à la mise en œuvre des politiques publiques, avec un véritable pouvoir de proposition, d’amendement et de décision – et non plus se contenter d’appliquer un programme de manière descendante. Concrètement, cela signifie que plusieurs projets municipaux devront être directement discutés avec la population, en plus de la concertation renforcée qui doit être la règle pour la mise en œuvre de chaque projet.

Cette démarche sera coordonnée par un·e élu·e dédié·e à la démocratie participative, tandis que les élu.es de secteur animeront les processus participatifs dans les quartiers. Ils devront co-construire avec les associations, les syndicats et des habitant·es tiré·es au sort, selon des critères socio-professionnels, afin de garantir une représentation fidèle de la diversité sociale. Des dispositifs d’accompagnement seront mis en place pour lever les freins à la participation.

La démocratie participative devra notamment être utilisée dans le cadre d’arrivée de sujets imprévus importants.

Cette dynamique nécessitera sans doute de repenser l’articulation entre le budget participatif qui permet de financer des projets proposés et votés par les habitant.es à partir d’une partie du budget de la ville et le Fonds de participation des habitant.es (FPH) à plus petite échelle qui soutient des initiatives locales. L’idée est de faire grimper la participation de toutes et tous les habitants de Grenoble et de garantir une participation plus équitable entre les quartiers.

Des bilans publics réguliers seront organisés pour mesurer l’impact des démarches engagées et ajuster les dispositifs afin de les rendre plus efficaces. L’objectif est d’intégrer le maximum de formes de participations tout au long du mandat.

Construire une démocratie vivante, c’est permettre à toutes et tous de prendre part aux décisions qui les concernent. C’est aussi de retisser le lien entre les citoyens et les institutions et redonner du pouvoir d’agir à celles et ceux qui en sont trop souvent privé·es.